...C'est une chose.
Le faire, une autre.
C'est valable pour beaucoup de décisions importantes.
On s'est connu voilà plus de 15ans, donc quitter quelqu'un comme ça, c'est pas évident.
De quoi elle parle ?
La cigarette of course.
J'ai commencé par envie, non pas pour faire bien.
Je l'aime depuis le début.
J'ai toujours vécu dans un environnement fumeur.
Ça me rappelle plein de souvenirs.
Les brunes surtout.
Une cigarette après manger, après l'amour, quand on est stressé ou heureux, quand on refait le monde complètement bourré, en sortant de l'avion, en attendant le bus quand il fait froid, les occasions ne manquent jamais.
La cigarette, c'est un peu comme un accessoire, tellement sexy sur certaines personnes, voyoute sur d'autres, classe ou prolo, la clope c'est très intime et très banal à la fois.
Je repense toujours à ce sketch de Gad sur la cigarette, tellement vrai.
(pour ceux qui ne connaisse pas, c'est ici : la cigarette)
Mais bon, la clope c'est aussi et surtout, pas bon pour la santé, ça coute des ronds, ça vous fait cracher vos poumons au moindre effort passé un certain age, ça jaunit les dents, le teint, et accessoirement ça tue.
L'alcool aussi me direz-vous, les mauvaises ondes des antennes relais, la grippe A/B/C/aviaire, les accidents de la route, la drogue, le sex non protégé, la mal bouffe, la connerie humaine...
Bref, y'a plein de choses mauvaises pour la santé mais la clope, c'est quand même un choix et on sait ce que ça peut couter.
Depuis quelques mois déjà, j'y songe car j'en ai marre de me sentir oppressée de la cage thoracique.
D'entendre ce sifflement parfois (souvent), quand je respire.
De me sentir dépendante de ce petit paquet de 20 tiges tellement délicieuses parfois.
De paniquer lorsque je n'en ai plus.
Mais je refuse catégoriquement tout traitement car je ne crois qu'en une seule chose pour ce genre d'action : la volonté.
Alors il m'en reste trois dans mon joli paquet souple et je me dis : Ce coup-ci j'arrête, je ne vais pas au tabac, et basta.
J'en ai vraiment envie, mais j'ai surtout peur de prendre 15kilos en 2 jours...
Et au prochain apéro quand tout le monde s'en grillera une, je vais faire comment ?
Je me questionne lourdement sur cet épineux sujet.
Là par exemple, j'écris, je réfléchis et bien je rêverai d'en allumer une, mais non.
Un mec comme moi, sur le titre.
Le faire, une autre.
C'est valable pour beaucoup de décisions importantes.
On s'est connu voilà plus de 15ans, donc quitter quelqu'un comme ça, c'est pas évident.
De quoi elle parle ?
La cigarette of course.
J'ai commencé par envie, non pas pour faire bien.
Je l'aime depuis le début.
J'ai toujours vécu dans un environnement fumeur.
Ça me rappelle plein de souvenirs.
Les brunes surtout.
Une cigarette après manger, après l'amour, quand on est stressé ou heureux, quand on refait le monde complètement bourré, en sortant de l'avion, en attendant le bus quand il fait froid, les occasions ne manquent jamais.
La cigarette, c'est un peu comme un accessoire, tellement sexy sur certaines personnes, voyoute sur d'autres, classe ou prolo, la clope c'est très intime et très banal à la fois.
Je repense toujours à ce sketch de Gad sur la cigarette, tellement vrai.
(pour ceux qui ne connaisse pas, c'est ici : la cigarette)
Mais bon, la clope c'est aussi et surtout, pas bon pour la santé, ça coute des ronds, ça vous fait cracher vos poumons au moindre effort passé un certain age, ça jaunit les dents, le teint, et accessoirement ça tue.
L'alcool aussi me direz-vous, les mauvaises ondes des antennes relais, la grippe A/B/C/aviaire, les accidents de la route, la drogue, le sex non protégé, la mal bouffe, la connerie humaine...
Bref, y'a plein de choses mauvaises pour la santé mais la clope, c'est quand même un choix et on sait ce que ça peut couter.
Depuis quelques mois déjà, j'y songe car j'en ai marre de me sentir oppressée de la cage thoracique.
D'entendre ce sifflement parfois (souvent), quand je respire.
De me sentir dépendante de ce petit paquet de 20 tiges tellement délicieuses parfois.
De paniquer lorsque je n'en ai plus.
Mais je refuse catégoriquement tout traitement car je ne crois qu'en une seule chose pour ce genre d'action : la volonté.
Alors il m'en reste trois dans mon joli paquet souple et je me dis : Ce coup-ci j'arrête, je ne vais pas au tabac, et basta.
J'en ai vraiment envie, mais j'ai surtout peur de prendre 15kilos en 2 jours...
Et au prochain apéro quand tout le monde s'en grillera une, je vais faire comment ?
Je me questionne lourdement sur cet épineux sujet.
Là par exemple, j'écris, je réfléchis et bien je rêverai d'en allumer une, mais non.
Un mec comme moi, sur le titre.