Sunday, August 30, 2009

Y penser...

...C'est une chose.
Le faire, une autre.

C'est valable pour beaucoup de décisions importantes.

On s'est connu voilà plus de 15ans, donc quitter quelqu'un comme ça, c'est pas évident.

De quoi elle parle ?
La cigarette of course.

J'ai commencé par envie, non pas pour faire bien.
Je l'aime depuis le début.

J'ai toujours vécu dans un environnement fumeur.
Ça me rappelle plein de souvenirs.
Les brunes surtout.

Une cigarette après manger, après l'amour, quand on est stressé ou heureux, quand on refait le monde complètement bourré, en sortant de l'avion, en attendant le bus quand il fait froid, les occasions ne manquent jamais.

La cigarette, c'est un peu comme un accessoire, tellement sexy sur certaines personnes, voyoute sur d'autres, classe ou prolo, la clope c'est très intime et très banal à la fois.

Je repense toujours à ce sketch de Gad sur la cigarette, tellement vrai.
(pour ceux qui ne connaisse pas, c'est ici : la cigarette)

Mais bon, la clope c'est aussi et surtout, pas bon pour la santé, ça coute des ronds, ça vous fait cracher vos poumons au moindre effort passé un certain age, ça jaunit les dents, le teint, et accessoirement ça tue.

L'alcool aussi me direz-vous, les mauvaises ondes des antennes relais, la grippe A/B/C/aviaire, les accidents de la route, la drogue, le sex non protégé, la mal bouffe, la connerie humaine...
Bref, y'a plein de choses mauvaises pour la santé mais la clope, c'est quand même un choix et on sait ce que ça peut couter.

Depuis quelques mois déjà, j'y songe car j'en ai marre de me sentir oppressée de la cage thoracique.
D'entendre ce sifflement parfois (souvent), quand je respire.
De me sentir dépendante de ce petit paquet de 20 tiges tellement délicieuses parfois.
De paniquer lorsque je n'en ai plus.

Mais je refuse catégoriquement tout traitement car je ne crois qu'en une seule chose pour ce genre d'action : la volonté.

Alors il m'en reste trois dans mon joli paquet souple et je me dis : Ce coup-ci j'arrête, je ne vais pas au tabac, et basta.

J'en ai vraiment envie, mais j'ai surtout peur de prendre 15kilos en 2 jours...
Et au prochain apéro quand tout le monde s'en grillera une, je vais faire comment ?

Je me questionne lourdement sur cet épineux sujet.
Là par exemple, j'écris, je réfléchis et bien je rêverai d'en allumer une, mais non.

Un mec comme moi, sur le titre.

Tuesday, August 25, 2009

Service...

...Limité.

Je réalise à l'instant même, que je vous ai laissé orphelins tout le mois d'Août.
C'est scandaleux !
Mais j'imagine que vous aviez de quoi faire entre Voici, Closer, Gala, vos vacances, les moustiques, et tout un tas d'autres trucs qui sentent bon le sable chaud.

En même temps, moi aussi j'ai le droit d'être en vacances (c'est pas comme si je glandais depuis mai).
Mais on dira qu'août, c'est différent.

L'épisode le plus important de mon été, se situe fin juillet, où il s'est produit un évènement aussi inattendu qu'agréable et forcément, j'ai eu moins de temps pour vous et plus de temps pour lui (et moi).

Je nage, je flotte, je plane, je suis à 4000, je ne comprends pas trop ce qu'il m'arrive, je souris bêtement, j'ai l'impression d'avoir 18ans, bref, j'ai mon cœur qui bat et ça fait vachement du bien !

Entre temps, je suis partie une semaine à Biot rejoindre mes potes, c'était chouette, belle maison, piscine, apéro, barbecues de compèt, soirées très très arrosées, siestes, rigolades et aussi moins de rigolades, car la Côte dAzur c'est vraiment du foutage de gueule et j'aurai bien plastiqué certains lieux...Mais bon, on ne gardera que les chouettes moments.

Les vacances se terminent joliment, avec plein de merveilleux souvenirs, les touristes sont enfin parti, Aiacciu redevient calme, j'ai des projets plein la tête et le cœur léger (et lourd un peu aussi).

J'attends ma rentrée de septembre avec impatience, et octobre encore plus...

Sur le titre, encore un peu d'insouciance estivale.