Thursday, October 05, 2006

La Loi De...

...L'emmerdement maximum.

C'est bizarre tout de même.
Une merde n'arrive jamais seule.
Pourquoi ?

Genre, un matin, tu te lèves, et ça commence. Et surtout, ça s'enchaîne.

Tu renverse ton café, tu fais tomber ton krisprolls tout entier dans le mug, le dentifrice se barre de la brosse à dents pour atterrir sur ta jolie chemise noire, ton talon se prend dans une bouche d'aération du métro, tu arrives au bureau (à l'usine, à l'école) pareil, ton boss te fais payer le fait d'être impuissant, tes collègues sont tous en RTT, le pc plante toutes les 5 minutes, et bien sûr tu oublies de sauvegarder ton tableau croisé dynamique de la mort...

Viens l'heure du dèj où tu te dis cool, je vais souffler un peu. Et bien non.
Tu pars à la cafèt', le sourire aux lèvres, t'as envie d'un truc style lasagnes, et comme par hasard au moment où tu tapes lasagnes sur la borne, fini, disparu, y reste que du foie de génisse...

Je passe les détails de comment se poursuit l'après-midi...Le ton est donné depuis ce matin 07h20 anyway.
Bref, LA JOURNéE DE MERDE...Comme nous l'avons déjà tous vécu.

Jusqu'au soir béni, où tu rentres (en essayant de ne pas passer sous une échelle) à la maison, tu éteins ton mobil, tu files sous la douche, à peine tu manges, de peur de te mordres la langue et tu te couches.
Demain est un autre jour...

Ceci n'est qu'une journée (heureusement), mais parfois, on assiste, impuissant, à ce phénomène (digne d'un sort jeté par le magistral ProfesseurSounounoudelaGoutted'OrGrandMaraboutdeDakar) sur des semaines, voire des mois, (pour certains, des vies entières...).

A se demander si un type, préposé à faire chier le monde, et peut-être même, payé pour actionner un bouton (une manette, une télécommande, un levier) spécial emmerdes, se gausse de nous voir galérer comme des cons et en rajoute jusqu'à ce que ça ne le fase plus marrer...

Ou alors, c'est le destin. Ou le facteur chance (malchance pour le coup). Peut-être la conjonction planétaire.
Je ne sais pas. Je m'interroge. Vraiment.
En tout cas, une chose est sûre. C'est agaçant.

Un truc agaçant aussi, lorsque que vous envoyez un mail sympa à quelqu'un et qu'il ne répond pas.
Même pour dire merde.
Mais ça, c'est une autre histoire...


Tuesday, September 26, 2006

J'aime regarder...

...Les Mecs.
Pas seulement ceux qui marchent sur la plage. Tous. Partout. Tout le temps.
Les jeunes, les vieux, ceux qui me plaisent et ceux qui me plaisent moins. Ceux qu'on traiterait de moches, ceux qui ont un strabisme, des lunettes, des chapeaux, des boucles d'oreilles et même ceux qui se maquille (on en voit pas assez à mon goût), les travs' du bois de boulogne, black, blancs, beurs, asiatiques, nordiques, cheveux longs ou boule à z...

Mains, cous, oreilles (propres et pas poilues de préférence), muscles se dessinant sous un vêtement ou encore petits ventres réconfortants, démarche, allure, regard, sourire, voix...
Bref, j'adore les hommes. Au propre comme au figuré.
Mais la plupart du temps, ma démarche n'est en rien sexuelle. Sensuelle, peut-être.

Je les observes beaucoup, mais du coin de l'oeil en général, car je ne voudrais pas qu'ils s'imaginent des trucs (c'est vite arrivé).
Si j'étais plus douée en photo, je ne ferai que ça je crois (avec le ciel aussi).
Habillés, nus, en couleur ou en noir & blanc, dedans ou dehors, été comme hiver, hétéros, homos, amoureux ou enragés, parisiens, banlieusards...
La masculinité. L'essence de l'homme.
Saisir aussi, leur part féminine. Rarement montrée et encore moins assumée.
Mais malheureusement je n'en suis pas là.

Alors je photographie avec mon cerveau.
Et on disserte sur eux avec mes copines. Arrivant toujours à la même conclusion.
Je t'aime moi non plus...
Et puis aussi, qu'ils se prennnent beaucoup moins la tête que nous. Du moins pour des choses basiques.
Qu'il n'y a pas forcément un sens caché derrière chaque phrase, geste, regard.
Que oui c'est oui et non c'est non, et pas l'inverse ou éventuellement peut-être je sais pas trop mais bon je réfléchis etetetet...
Ca parait simple comme ça, mais c'est loin d'être évident de vivre en harmonie.

Et même si je suis bien toute seule, même si je ne supporterais pas de ramasser des chaussettes sales et de devoir râler à cause de la lunette des chiottes, même si j'espère qu'il ne sera pas trop accro au foot, même si je n'envie pas mes copines de moins de 30ans déjàmariéedéjàmaman, même si j'espère qu'il sera un peu romantique, même si j'ai quelques regrets par rapport a des amours passées et terminées, et même si je suis une fille libérée, libre et libertine...
Et bien, je ne rêve que d'une chose.

D'un homme rien qu'à moi (sans jalousie aucune), que je pourrai regarder autant que j'en ai envie, sous tous les angles, a n'importe quelle heure.
Qu'on prenne soin de moi et vice-versa.
De me poser un peu.
Je suis fatiguée...
(ce post n'est pas un appel au secours, ni ma prochaine annonce pour Meetic hein...)

Thursday, September 14, 2006

Montres moi comment...


...Tu danses.
Je te dirais comment tu aimes.

Et oui, car je pense qu'il y'a un vrai rapport entre la danse et le sex. (ça tombe sous le sens me direz-vous, le corps, l'expression, le mouvement, tout ça...mais bon, fallait bien que je trouve un sujet pour passer le temps...)
C'est techniquement prouvé (et approuvé. Par moi), un mec qui danse bien, est un bon coup. C'est tout.

Et si on va plus loin, un mec qui danse bien, est un mec sensible.
Mais, dans la tête dans gens, qui dit sensibilité chez un homme, dit souvent manque de virilité.
Voilà donc pourquoi la plupart des danseurs pros (coiffeurs, une certaine sensibilité dans l'esthétisme là aussi) sont homos ?
Mais ne généralisons pas.
Il y a des types qui ne dansent pas très bien et qui malgré tout, se débrouillent pas mal au lit.
Mais perso, j'aime tellement la musique, le rythme et la danse que je focalise si il n'en va pas de même chez mon partenaire de jeu...

Remarquez tout de même, que ce n'est pas monnaie courante sur nos dancefloors parisiens (à part les breakeurs, salseros, et autres spécialistes) de voir des mecs qui dansent vraiment bien, sans complexes et avec plaisir.
Cela voudrait donc dire que le bon coup se fait rare ? Ou que le bon danseur se fait rare ?
Ou pire, que le bon danseur et bon coup se fait très, très rare ?

Mon dieu, qu'est-ce qu'on va devenir...

Wednesday, September 13, 2006

Back 2 Reality...


Et voilà. Septembre. La rentrée des classes. Les souliers neufs. Les adieux sur le quai de la gare. On ferme les volets de la maison, on enlève le sable du sac de voyage (pas tout quand même) et on espère avoir une jolie arrière-saison pour garder encore un peu son bronzage.

J'avoue, là, j'ai la tong triste et le monokini (voir plus bas) en berne...

Retour sur la ligne 3 depuis 2 jours.
Repris le taf après un arrêt de 3 semaines.
Retrouvé mon resto japonais.
Revu les mines hagardes des parisiens.
Tiré ma révérence à certains. Envoyé des photos à d'autres.
Jsuis même pas sortie faire la fête depuis mon retour.

Bon, j'arrête de chouiner.

Après 1 bonne semaine à me coltiner un 15 août digne d'un 11 novembre, errer comme une âme en peine, voir le ciel tout gris et moche, et passer mes journées sur le net.
Je prends enfin mon billet de train pour Bordeaux.
Direction Lacanau.
Arrivée en fanfare, il pleut !!! (c'est une blague, dites moi que c'est une blague ce tempsdemerdec'estpaspossibleuh)

48h de pluie, océan gris, ciel gris mais avec mes copines, a faire des jeux débiles, à boire comme des trous, à se raconter les derniers potins et à lire l'horoscope de septembre de Cosmo.(d'ailleurs merci Cosmo, vous m'annonciez un mois de dingue, c'est plutôt mal barré...)

Et puis miracle, le soleil revient. Enfin.
Et là, le pied. Découverte d'un coin de France que je ne connaissais pas du tout (ou y'a longtemps alors), vélo et gadins, balades, plage, plage et encore plage, mer et gadins dans les vagues.
Rencontre improbable d'une équipe de foot amateur, alors que Lacanau est un peu vide.
Des mecs super sympas, tous plus mignons les uns que les autres (au nombre de 18, et ouais quand même, pour 4 nanas, c'est honnête) et avec une villa, piscine, en haut du Golf.
Le plus joli coin.
Le plus joli lever de soleil depuis cet endroit haut perché (numérique qui lâche à ce moment...)
Ca fait plaisir des moments comme ça (pas le numérique qui lâche hein, le partage).

Entre temps, on sympathise avec le patron / barman de la boite locale, genre le Macumba, sauf que ça s'appelle La Pergola.
On danse sur des morceaux hypers connus, mais on s'en fout.
On boit du champagne jusqu'à plus soif.
Y'en a tellement qu'on en a profité pour faire des Champagne / Red Bull (trèèèèès bon).
On fait les folles.

On fait des afters.

Bref, Lacanau est à nous.

Episode Monokini : J'ai fait seins nus. Oui, je sais c'est un peu sans intérêt, mais moi, normalement, je ne fais JAMAIS seins nus sur la plage.
Et là, jsais pas, j'ai eu envie de laisser mon corps respirer le plus possible, car putain, on a pas pu trop se dénuder cette année.
Je recommencerai la prochaine fois que j'irai à la plage. C'est certain.

10 jours de détente, de rigolade, de fêtes, de simplicité, d'amitié encore plus vraie qu'à Paris.

Et là, voilà, je regarde beaucoup les photos de toutes mes vacances depuis Mai.
Et je réalise que j'ai de la chance, car je suis pas mal partie en vadrouille, j'ai vu de très beaux endroits, rencontrés des gens hypers intéressants, fait beaucoup la fête et tout simplement profité de la vie.

De ma vie.

Et à l'heure où j'écris ces lignes, il se passe des choses un peu chiantes, des moments de vie, de mort, incontournables mais qui font qu'on est ce qu'on est, uniques. Et qu'on est obligés de grandir, un ptit peu plus chaque jour.
Et que c'est toujours un peu triste et joyeux à la fois, septembre.
Fin de quelquechose, début d'autre chose.

Ainsi va la vie.

Bonne nuit.

Thursday, August 10, 2006

I Can't Get No...

...Sleep.

Ahah, vous êtes déçus hein ?! Vous vous attendiez à un Satisfaction. Y'a pas que le sex dans la vie...

Et bien non. Dormir. Sommeil. Repos.
Je ne suis pas vraiment insomniaque, mais disons que plus ça va et plus j'ai du mal à trouver le sommeil.
Cette sensation de fatigue, quand on a les yeux lourds, envie de s'affaler, de sentir qu'on va se laisser mollement avaler par le matelas, se rouler en boule sous la couette et que dans les 30 secondes on sera déjà dans les bras de Morphée.

Alors, qu'est-ce que je fais ?
Je mate la télé, j'éteins, me recouche, fais un peu de respiration, me retourne, essaye de ne pas penser, me relève, fume une clope, boit un verre de lait, me recouche, ne pas penser, rallume la télé, refume une clope, bref, le ballet incessant de la nana qui n'arrive pas à dormir.

Je me refuse à prendre quoi que ce soit qui ressemblerait de près ou de loin à des somnifères.
Les tisanes, ça donne envie de pisser, donc ça réveille, donc non.
La respiration au bout d'un moment, ça me gave.
Le mieux c'est, soit je rentre complètement bourrée (oui, car je ne me mets pas minable toute seule à la maison) et là forcément je dors comme une masse, mais le lendemain c'est moyen.
Soit, faire l'amour. C'est l'idéal.
Mais pas toujours faisable. Je ne vais pas inviter un mec par soir dans mon humble demeure sous prétexte que ça me détend et qu'après je dors mieux...

Bon, en fait, le tout c'est d'être détendu, pas stressé avant d'aller se coucher.
Mais j'arrive pas à déconnecter. Dès que je m'allonge dans le noir (ou pas), je cogite. Je pense à mon découvert, à quel chemin je vais devoir prendre bientôt, à mes ex, à ma mère, à mes petits problèmes de merde.
Et du coup, hop, le train du sommeil, dans l'cul Lulu (classe, je sais...).

Le plus chiant dans tout ça, c'est les répercutions sur l'état général après. Fatigue, irritabilité, yeux marqués, dérèglement des biorythmes...

Bref, je n'ai pas de solution viable pour le moment.
En même temps, demain soir je suis en vacances. Paris au départ, Lacanau ensuite.
Donc, je vais pouvoir me coucher à point d'heure, boire comme un trou, apprendre à surfer, faire des folies toutes les nuits, et revenir au boulot encore plus fatiguée ;o))

Monday, August 07, 2006

Vous les Femmes...

...Vous le charme.
Mouais, bon, j'avoue je crois que j'aurai préféré être un garçon, mais je ne crache pas dans la soupe, c'est assez pratique, cela a tout de même des avantages et j'ai quelques amies très chères avec qui je m'entends à merveille et avec qui l'hypocrisie n'est pas de mise.
Mais dans l'ensemble, c'est pas joyeux-joyeux les rapports entre femelles...

Coups bas, messes basses, sourires assassins, compliments par-devant et critiques par-derrière (hum, ce Diesel te vas à ravir...Mon Dieu, mais elle a sacrément grossi et le taille-basse bbrrr, ça lui va pas du tout), mise en place de stratagèmes digne de Napoléon pour vous détourner votre Homme du moment (comme si le nôtre était le seul sur la planète), prendre 3000 détours pour vous dire un truc tout simple, bref, j'en passe et des meilleures. Y'a vraiment des salopes de compèts chez nous les filleeeuuuhhhh...

Et cette 'impression qu'il n'y a pas de juste milieu entre ni pute, ni soumise, et bimbo de base. Des filles biens dans leur baskets, qui arrêtent de juger une autre fille par ce que hein, la sodomie / faire pipi dans le métro / aimer le cul, bein ça fait pas très fille.
La féminité, c'est comme la liberté, un état d'esprit...

Bref, un joli monde rose bonbon, à mi-chemi entre Barbara Cartland et mon Petit Poney, ajoutez à cela de vieux relents de Nelly Olson, une pincée de Cruella, un zeste de fashionistaputeàfrangeonglescourts, vous avez la parfaite petite parisienne cuvée 2006.

Donc, oui, dans l'ensemble, je n'aime guère les nanas.

Je n'y peux rien, j'ai été élevé qu'avec des garçons (mes frères) et déjà toute petite, la marelle, l'elastique et les clans entre filles me faisait royalement chier...Les Barbies, je préfèrai les déshabiller et Ken savait déjà ce qu'il avait à faire...
Et pourtant j'aimais bien la Comtesse de Ségur, etetetetet, là, je cherche d'autres souvenirs de petite fille...Trou noir. Donc en fait, juste les Malheurs de Sophie car y'avait un certain sadisme dans tout ça.

Donc, contact plus facile avec les garçons pour jouer à la Tapette au fond de la cour (d'ailleurs, un big up à celui qui m'a filé ses stickers argentés, ils sont magnifiques sur la porte de mon frigo customisé), plus tard, nettement plus facile de parler guitare éléctrique / Hendrix / Doors / Teufs et Drugs avec les mecs, et un peu après, on parlera moins, mais on jouera au Docteur.

Et aujourd'hui, je cherche toujours le mode d'emploi des garçons, car même le Best-Seller Mars et Vénus, n'y a rien fait (et pourtant toutes les filles / femmes ont dit : Mais c'est magnifique, tu vas voir, ça va te sauver la vie et tu vas enfin comprendre pourquoi on ne parle pas le même language, et puis tu te rends comptes, c'est un homme qui a écrit ça, alors hein...).
Nevermind, je ne désespère pas, et bientôt dans toutes les bonnes stations essence, mon guide du :
"Comment s'en sortir avec les mecs à presque 30 ans..."

Rien n'y fait, je préfère 1000 fois les mecs et moi, je crois en l'amitié fille / garçon (même si chez ces derniers, on retrouvera toujours un désir de vous coller dans son pieu...). Mais avec un peu de patience et quelques verres, on peut leur prouver qu'on peux se taper des cuites ensemble et pas forcément se retrouver au lit.

Je m'égare. Les hommes, mon dieu, ça m'obsède, il faut que j'arrête.

Donc, les femmes, les filles, non, vraiment, c'est pas mon truc.
Sexuellement, pas désagréable mais ça s'arrête là.

Pour mes amies, je vous aime les filles, changez rien.
On continue à se dire les choses qui font pas plaisir, à se bourrer la gueule comme des russes, et à pas avoir les mêmes goûts pour les mecs, à s'auto-analyser les soirs de grande déprime avec de la psychologie digne de Biba / Cosmo, mais qui nous fait tant de bien...
A regarder SATC, et penser qu'on est toutes, finalement, au fond, un peu pareilles. Mais qu'il y a celles qui assument, et les autres.

Friday, August 04, 2006

L'été au Bureau...

...C'est chiant et long.
Qu'on ne me dise pas le contraire.

Ca me fait marrer les gens qui disent : "Oh, c'est bien, ça te permets de faire ce que tu n'as pas le temps de faire durant les autres mois".
Bof, perso, je fais tout au coup par coup et je ne me laisse pas trop déborder.

Donc, le classemement, l'archivage, et autres conneries, j'en ai pas.
Ils voulaient me filer un stagiaire, j'ai refusé, je ne vois pas l'intérêt. A part peut-être, si il avait été mignon et que j'ai pu le débaucher...

Alors qu'est-ce que je fais ?
J'arrive à 11h au bureau ou pire, je n'y vais carrément pas.
Je passe ma journée sur le Forum (comme d'hab') et j'ai plus de temps pour écrire mes conneries ici...

Les fournisseurs sont en vacances, donc, si j'ai des besoins / demandes, de toute façon, tout est décalé à Septembre...

Le temps est tellement bizarre en plus. Un coup canicule, un coup 10°c, un coup pluie, un coup soleil...
Ca me fatigue.
Je suis seule, mes 2 boss pas là, mes collègues pas là. Seule. Comme un rat mort.

En même temps, fin de semaine prochaine, je suis en vacances. Ca ne m'enchante pas plus que ça en fait, car je sais que je vais rester là.
L'emmerdant aussi, c'est d'être obligé de partir pendant les grandes vacances, quand t'as pas de mômes, ni d'obligations...
Donc, à choisir, je préfère rester ici en Août...
Non, non, je ne suis pas chiante ;o)

Je vais en profiter pour me remettre le nez dans le dossier "Canada"...
Aller à la piscine, faire la grasse mat', aller au marché, flâner.
Prendre mon temps. C'est pas négligeable.

Et j'ai cette petite chanson dans la tête : U're just too good to be true, can't take my eyes off you...
I love u babyyyyyy...et caetera, et caetera.

Bon week end.
Pour moi, dans 1 heure. Apéro keupines, racontage des dernières péripéties et autres cancans...
Ca fait du bien.

Tuesday, August 01, 2006

Time after Time...

J'ai pas le temps, prends ton temps, donnes moi le temps, gestion du temps, le temps qui passe...
A la recherche du temps perdu.

Donc, au final tout est une question de moment...


On a tous remarqué que lorsque l'on passe un bon moment, le temps passe vite, et à contrario, quand on se fait chier, ça dure une éternité...
Ou lorsque qu'une journée de 24h n'est pas suffisante pour tout faire...
C'est incroyable ce phénomène non ?

Tout ça pour parler d'un truc con (d'où l'intérêt des blogs...).

Ne pas tomber au bon moment, ou, avec un peu de chance, tomber pile-poil, mais bon, dans mon cas c'est le premier...

Dans une relation.
Et moi, je suis maudite.
Je ne tombe JAMAIS au bon moment dans la vie du mec.

Alors, il est soit :

  • Déjà dans une relation
  • Plus ou moins dans une relation
  • Pas remis d'une relation

Bref, face à ce genre de situations, y'aura toujours une âme charitable pour me dire, maismaismais, panique pas voyons: Tu as le temps, ça viendra. Faut pas être pressée. La roue tourne (mon gars).

Sans compter sur celles qui te parlent de la fameuse "horloge biologique" et du bonheur d'avoir "enfin" trouvé son équilibre à 2 a à peine 30 ans...Perso, ça me fait plus peur qu'autre chose.

Moi, tout ce que je veux c'est être là, au bon moment.

Bon, allez, c'est pas tout ça, l'heure tourne...
Et comme dire dirait Mick : "Tiiiiiiiiiiiiiiiime is on my siiiiiiide"
(ca va, je sais, jme suis plantée avant...)

Monday, July 31, 2006

On The Rocks...

...Whisky, Calvi, Sex...
Bref, on peux en faire des choses "On The Rocks".

Bon, Whisky, j'avoue que je me suis calmée.
Mon foie m'a prié de cesser toute activité trop brutale. Je suis bête et disciplinée et à l'approche des 30 ans, j'écoute mon corps...

Calvi. Ahhhhhh, Calvi...
Je cherche mes (maux) mots.
Je ferme les yeux, et je pense :
Citadelle, Coucher de Soleil, Hot Chip, Dolce Vita, Lever de Soleil, Paninis, Too Short, Apéro, Tao, Champagne Shower...
Bref, 5 jours intenses, à tous les niveaux.
14 jours que je suis rentrée...
14 jours que j'y pense.

Sex, hum, bon, je ne développerai pas.
Mais de ce côté, ce fût comme la canicule. Chaud et moite.
Vu que le temps part en vrille, espérons que les 2 ne soient pas liés..

De retour à Paris, le taf, les apéros, le macadam, le bitume...Et pas une once de petite plage aux alentours...

Merde.

J'ai 15 jours de vacances à prendre dès la mi-août mais, n'aimant pas les familles avec leurs glacières, les prix estivaux, et les bobs Ricard, je me suis dit qu'il valait mieux trouver un job et faire des sous.
Pour peut-être, partir une dernière fois, début Septembre (oui, oui, j'ai plein de vacances, je ne fous rien, et pourtant, je ne suis pas fonctionnaire...).

Où ? Who knows...

Tuesday, April 25, 2006

Lost Somewhere...


Dans le Desert...
C'est un endroit mystérieux...
Rempli du bruit étrange que fait le silence.
Vide à s'en étourdir.
Avec la mer. Rouge.
Le spot "Blue Hole" pour plonger et voir l'autre monde. Celui du dessous.
Fumer une chicha en regardant la pleine lune sortir d'un ciel sans étoiles.
Chargé d'histoire.
Ste Catherine.
Le Sinaï. Moïse...
Les hommes et leur folie.
Déjà Sharm-el-Cheikh.
Dahab maintenant.
La semaine dernière Tel-Aviv, encore et encore...
Et puis tellement de vies. De sang. De cris. De pleurs.
Tant de lieux qui me sont propres et chers.

A quoi ça sert ?
Pourquoi ?
Pour convaincre d'une supérioté ? Quel combat ? Quel but ?
Putain...
J'ai mal.

J'avais envie de plaisanter en postant un truc sur les Belges ou sur mon cocktail hyper arrosé d'hier soir, mais non, j'ai pas le coeur.
Il est resté dans un petit coin, en haut d'une montagne, perdu entre Eilat et Dahab.

Wednesday, April 19, 2006

Scandale Olfactif....


Je croyais qu'il y avait des modes pour les parfums, et que celui-ci était définitivement has-been...

Et bien, non.

Au moins 2 matins par semaine, je me tape cette odeur mièvre, sucrée, écoeurante, vulgaire, de mauvais goût, qui me donne immanquablement envie de gerber (quand j'aime pas, j'aime pas....).

Je suis, je suis, je suis : Angel de Thierry Mugler.

Il faudrait l'interdire, le retirer de la vente, tabasser les nanas qui tombent dedans au moment de sortir.

Et le pire, c'est qu'ils (j'entends par là, les "nez" de chez Mugler, laissez moi rire...) continuent à faire des parfums, forcément, dans la même gamme de senteurs...
Même chez Eau Jeune, ils font des efforts...

Il faudrait lui dire à Thierry, que son métier, c'est la couture, broderie, macramé...
Mais pas le parfum nom d'une pipe en bois (de santal)...

Pour ma part, je suis plutôt : Guerlain, Chanel et en ce moment Narcisso Rodriguez.

Sinon, je vais bien, je suis partie en vacances, 1 semaine, en Turquie.
Ravie de mon voyage comme d'habitude (il faut le savoir, j'adore ce pays, j'y vais au moins 1 fois par an, et j'appelle tous les gens à ne pas mal juger cette magnifique porte entre l'europe et l'asie), paysages magnifiques, accueil chaleureux et sincère, la lange turque reste toujours un grand mystère, mais j'y travaille...
Je suis toute bronzée, et j'ai bien tapé dans mon capital soleil...

Le joli mois de Mai approche et c'est tant mieux !!
A nous les ponts, les terrasses, bronzette et doigts de pieds en éventail, ggrrrrr ;o)))

Tuesday, February 28, 2006

Comment font ?


...Les artistes, journalistes, peintres, écrivains, tous ces gens qui doivent créer pour vivre et qui forcément à un moment ou un autre ressentent ce grand vide, ce manque d'inspiration qui m'anime (un vrai pradoxe, je vous dit) en ce moment...
Pour écrire ici, pour mon job, pour me bouger le cul...
Bref, pour être active et non passive.

Je vais mettre ça sur le compte du mois de février, mes trucs, mes dents, le manque de tunes, de mec...
Rien ne va mal, mais rien ne va vraiment bien...Donc je pense que j'attends que ça passe...
Et pourtant, je suis pleine de bonne volonté hein, mais rien n'y fait...

Bon, je reprendrai après déjeuner, car en fait je ne suis vraiment pas inspirée , par manque d'inspiration sûrement...

Ah, et puis bon Mardis-Gras !!!!

Thursday, February 23, 2006

Fais ce que je dis...




...Pas ce que je fais.

Vachement pratique comme maxime.

Alors moi, ça s'applique au domaine de la prise de poids et de quelques élémentaires principes de base de l'alimentation...

Je me revois avant-hier, faire un mail à un ami se plaignant de ne pas réussir à perdre de poids bien que faisant du sport régulièrement.

Et moi, de lui dire :

- "C''est très simple, tu réduis les portions de ce que tu t'envois, tu prends ton temps pour manger, mastique et n'avale pas tout rond, supprime tous les yaourts genre mousse au chocolat, les jus de fruits plein de sucre, le Cacolac, Coca, et tant que tu n'es pas stabilisé, non aux Mc Do, Pizza Hut et autres traiteurs chinois.
Préfère la viande blanche à la viande rouge, une fois / semaine, poisson, légumes cuits, fruits secs et autres aliments qui ne nous veulent que du bien..., et puis aussi, lorsque tu fais du sport, respire à fond, et surtout, surtout penses à bien contracter tous tes muscles, sinon, ça sert à rien, c'est comme si tu pissais dans un violon..."

Et ouais, je sais, je pourrais faire fortune aux US.
Par-ce que le problème, c'est que moi, les problèmes de poids et les restrictions, je connais, et bien.
Malheureusement je suis d'une nature à prendre 2 kilos rien qu'en ouvrant la porte du frigo, et vu que surtout j'aime bien manger (et boire aussi, ne nous voilons pas la face...), et bien, c'est un combat permanent.

Alors normalement, je sais faire attention et m'auto-réguler, mais en ce moment...
C'est la débandade. Jsais pas ce qui m'arrive ?
J'arrête pas de bouffer, j'ai faim tout le temps, donc grignotage entre les repas, surtout le soir, je bouffe des quantités (g)astronomiques, et je déserte le sport de façon scandaleuse.

Je dis que je ne sais pas, mais en fait, je sais, du moins, je crois.
Je comble.
Jme sens seule, j'ai beau papilloner, je suis seule, dans ma tête, dans mon coeur.
Mais je vais me reprendre en main de ce pas.
Sur ce, je vais faire travailler mes neurones à défaut de faire travailler mes abdos / fessiers...

Wednesday, February 22, 2006

Offrir...


Ou l'art de faire des cadeaux à ceux qui ont déjà tout...

Alors, oui :
- on a envie (ou pas, remarquez, mais bon, parfois, il le faut) de faire plaisir,
- de montrer notre amour / amitié / reconnaissance, à base de petits présents,
- de ne pas passer pour une pingre au moment des fêtes de Noël / Hannoukah...

Bref, on échappe pas au sacro saint cadeau...

Et c'est mon cas, aujourd'hui, car demain je célèbre le jour de la naissance de ma douce mère.
Alors une fois que l'on a fait le tour des boutiques de cadeaux / instituts de beauté / FNAC et autres temples du "Faire Plaisir", où se retrouve t-on ?
Hein ? Je vous le demande ?

Et puis, il y a toujours le risque que cela ne plaise pas.
D'avoir pourtant ressentit une envolée face à ce ce truc génial / délirant /magnifique / wonderful, et de se retrouver face à une mine déconfite de stupeur / dédain / incompréhension...

Voilà, je le dis, c'est le trou, le vide, le manque total d'inspiration, de budget aussi peut être, avouons-le...
Je ne sais pas quoi faire...

Une idée, pas trop farfelue / onéreuse, quelqu'un ?




Tuesday, February 21, 2006

Ligne 3...




Ma ligne.
Et le métro en général...
Pourquoi tant de haine, de chaos, de non-repect des règles élémentaires de courtoisie, de j'm'en-foutisme de l'autre ?
Vous me suivez ?
Non ?
Alors laissez moi vous expliquer...

C'est très simple. Je concède qu'il n'est pas toujours marrant d'entendre le réveil sonner alors qu'on est sous la couette à se faire des papouilles, d'aller bosser, de sentir les odeurs de ses congénères d'aussi près, d'avoir à se lever (remarquez comme les gens vous regarde bizarre dans ce cas) pour laisser la place à Mémé qui ne trouve pas mieux que de prendre ses rendez-vous chez le toubib aux heures de pointe, alors qu'elle n'a rien à foutre de la sainte journée, d'avoir à supporter des mômes et des pousettes alors que nous par choix, on en a pas, de pas pouvoir lire Libé tranquillement sans coller la page métro amoureux dans l'oeil du pingouin d'à-côté...
Je sais, je sais, je sais, je suis comme vous, parfois hein, parfois seulement.
Car moi, cette situation bi-quotidienne, ça me bouffe et je fais des efforts pour les gens et pour moi.
Je laisse les autres descendre de ce putain de wagon à bestiaux lobotomisés.
Je les laisse descendre puisque je vais de toute façon monter dedans, et comme ils descendent, nous, on monte et forcément avec le flux, ça laisse de la place à l'intérieur. Logique.
Donc, pas de quoi paniquer.

Bein si, se disent-ils...Si, si, si, ça vaut le coup...
Enervés, stressés, hargneux, le regard assassin, le soupir enragé, bref, tout plein de bonnes ondes de bon matin...

Alors, il y a des jours où je laisse pisser, et des jours comme aujourd'hui où je pète un plomb, où je rentre dans le tas de ce tas de connards avec leurs regards bovins et leurs mines tristes et renfrognés, où je crie, je les insultes...
Ca me fait du bien.
Et où je décide d'écrire à la RATP pour leur faire une propostion.
Une campagne de sensibilisation aux usagers, ou comment ré-apprendre aux gens des choses simples et qui font du bien...

Je suis une utopiste, je sais, mais je ne supporte pas de me plaindre et de ne rien faire.
Alors je fais, on verra bien.

Mais en tout cas, moi, le métro parisien, je l'aime bien, c'est un endroit étonnant, plein de moments incroyables, de scènes de vie épatantes, vous ne me ferez pas devenir comme vous...
Des usagers. Point barre.
Moi je suis passagère, spectatrice, actrice, réalisatrice...Et j'en suis fière.

Si vous préférez le 2 roues, et que vous en avez assez des gros moteurs, allez voir chez La Fille, là-bas, si j'y suis...
Ici : http://www.lafillelabas.blogspot.com/

Découverte...



Ca vous intrigue hein...

Et bien voilà, hier soir après une marche forcée de République à Gambetta, suite à un accident grave de voyageur, je me suis retrouvée au restaurant Japonais qui est en bas de chez moi.

Je vous passe les détails de ce que j'ai mangé mais pas de ce j'ai bu...

Et oui, on ne se refait pas...Car même seule, je bois...Et j'ai bu, alors une petite bière Asahi, pour me réchauffer, mais aussi, ce que le gentil petit serveur (qui a sûrement vu en moi la pauvre alcoolique) m'a offert à la fin du repas...

Et c'est là qu'on se dit que les japonais sont plus raffinés que les chinois...J'ai eu droit à une jolie petite tasse, sans un mec horrriblement nu au fond, avec dedans du Saké Chaud...

Bonheur suprême, odeur incroyable, saveur doucement acide...Jamais je n'ai bu un tel breuvage, jamais je n'ai dégusté un alcool de cette façon...Même un très bon vin ne m'a jamais transporté ainsi...

Je suis une adepte du whisky et du pinard, mais aujourd'hui, je peux dire que je vais de ce pas apprendre à boire ce délicieux nectar, car j'avoue que je ne connaissais que celui que l'on vous sert froid à la fin de votre repas à La Tour de Jade, et j'ai jamais été particulièrement emballée par ce tord boyaux...

Voilà, on en apprend tous les jours...

Sunday, February 19, 2006

Walk The Line

Comprenez par là, que c'est le film que j'ai vu hier soir.
Alors, que dire...
Bande son à mon goût, Joaquin Phoenix et Reese Whiterspoon plutôt crédibles, toute la trame plutôt crédible.
En fait, ce film est crédible, mais il m'a manqué quelquechose...

Ou plutôt je crois que j'ai pas trop aimé le côté God is our Saviour, ce côté propret, joliment américain (contre qui je n'ai rien, je précise).
Pas assez trash, même si il se défonce pendant tout le film aux amphèt', ça ne vaut pas mon bon vieux Morrison vu par Oliver Stone...
Son père est, enfin était, un bel enculé en tout cas, et il a dû beaucoup souffrir Johnny Belle Gueule.
Et quand on souffre, on créée, parait-il...

Mais j'ai aimé la musique, je me répète je sais, mais j'aime la musique, et puis c'est mon blog, alors je fais ce que je veux...

J'ai aimé le côté Walk the Line, Suis ta route, tes rêves et ne plies pas, Bats toi.

J'ai aimé les tenues de June. Et j'ai aimé le mec qui joue Jerry Lee Lewis.

J'ai aimé car je suis allée le voir avec J.
Qui est un artiste encore inconnu mais qui mériterait de l'être et qui lui aussi, devrait Walk the Line, et se battre un peu plus pour faire de son rêve, sa réalité.
Mais J. avec qui j'ai tout arrêté il y a environ 15 minutes.

Je suis lasse.

Friday, February 17, 2006

Y'a des Jours, comme ça....


....Où tout ne vas pas pour le mieux....
Comme dirait l'autre.

Et où on ne sait pas vraiment pourquoi...

Pas de syndrome SPMA en vue, pas de prise de bec avec qui que ce soit, ni bien, ni mal...
Juste flou des sentiments, un peu stressée, enervée, oppressée, ras le bol.
L'impression que rien ne sert à rien, que tout est vain et qu'on est peu de chose.

Pourquoi ?

Influence des planètes mal lunées, biorythme en baisse, libido à zéro, sentiment de faire tout le temps la même chose, au même moment, bien qu'essayant de mettre un peu de magie dans le quotidien et de nature en général, plutôt optimiste...

Et bien, mes amis, aujourd'hui, laissez-moi vous dire que c'est le cafard le plus complet.
Que même un roman de Barbara Cartland et un épisode de Mon Petit Poney, me donneraient envie de chialer et que cela me semblerait noir, psychopathique et plein de paranoïa.

Le week-end approche et c'est tant mieux...




Thursday, February 16, 2006

Boule...


...Dans la gorge, ou plus précisément, ganglion, à gauche, problème de déglutition...
Je crois que je suis entrain de tomber malade.
Je me refuse toujours d'aller chez le toubib, et pis encore de prendre des anti-bio-tiques...
En plus, ce soir, je me suis promis d'aller au sport, d'où un changement de température important, transpiration, re-changement de température, cercle vicieux...
Mais je DOIS Y ALLER, avec ce que ça me coute et vu que je trouve que j'ai grossi, j'ai pas le choix.

Coup de fil impromptu...
A., le jeune ephèbe...
Il est passé me voir hier soir, au bureau, à l'improviste, il m'a trouvé un peu froide, du coup, il m'invite à diner demain soir....



Mais qu'est-ce qui m'a pris...


Le titre parle de lui même...
Pire.
J'ai voulu faire plaisir à J., nouveau prétendant, en allant voir ce "navet" au jus de pruneau...
Je ne vais pas tergiverser, nul, plat, sans intérêt, vide, et tout cela n'a plus de Splendid, que le nom.
Merci à Anémone de n'être pas venue se fourvoyer dans ce film bas de gamme où j'ai passé 97 minutes à me tordre de douleur tellement j'avais envie de pisser, et à me demander de quoi les gens riaient ?....

La suite de la soirée ne fût pas plus reluisante car la veille, j'avais dit à J. :
"Diner à la cool, à la maison"...
N'étant pas une reine de l'organisation, je n'avais évidemment rien préparé, pensant que les beaux morceaux de saumon qui étaient au congèl, calmerait ses ardeurs culinaires...

Réponse de l'Homme :
"J'aime pas le saumon..."

Et bien, ce n'est pas grave, le Mc Do de la place Gambetta a très bonne réputation tu sais...