...Ce que j'ai mais je me sens envahie en ce moment (depuis 5 jours, 9heures, 26 minutes et 8 secondes exactement) d'un bien-être et d'une joie de vivre qui, bien que j'allais pas trop mal jusqu'alors, ne s'étaient pas fait sentir depuis longtemps.
Je ne suis pas amoureuse, je ne suis pas bronzée, je n'ai pas mis les pieds chez H&M depuis 5 mois, je ne sais plus ce qu'est une vraie fête digne de ce nom et pourtant, je plane à 4000...
J'ai l'impression que ce poids qui me pesait encore quelques fois, a disparu.
Je ne me sens plus angoissée, du tout.
Nan par-ce que bon, les crises d'angoisse, alors que tout va bien a priori, c'est assez emmerdant.
Alors j'ai 2 explications (qui n'ont absolument rien a voir), soit :
- C'est cette oursinade, en plein soleil, face à la mer, un dimanche de janvier, une bouteille de rosé et j'ai compris que cette vie serait ma vie pour un certain temps et ça m'a fait du bien.
OU
- La semaine dernière, après une soirée bien arrosée, où j'aurai dû rentrer me coucher, je vais au SAS (restau/bar/club près de chez moi), car je pense voir là-bas quelqu'un en particulier.
Donc j'y vais, seule, bravant la loi de :
Une fille seule, pour boire et danser, c'est bizarre non ?!
Et j'ai continué a boire. Du whisky. Corse. Altore.
Et personne à l'horizon.
J'ai dansé un peu car je me sentais inspirée mais malheureusement j'étais la seule a me tremousser (comme souvent ici), et puis j'ai eu un coup de :
Rhooo, putain, fais chier, trop nul, y savent pas faire la fête, bande de nazes, gnagnagna et, je me suis sentie un peu vaseuse.
Au lieu de sortir par là où j'étais rentrée, et faire une 50aine de pas pour rentrer me coucher, je prends mes affaires, mon verre, j'avance dans la salle et au fond je vois un petit coin, où il n'y à personne.
Au loin, dans le flou, s'offre à moi : de grands tabourets.
Tout le monde sait à quel point j'affectionne, bancs, banquettes, chaises et autres meubles qui à la base, sont fait pour s'asseoir.
Je les aimes car je m'endors immanquablement dessus.
Surtout en soirée, quand y'a plein de monde, plein de bruits, de la musique à 150BPM, et bien souvent moi dans ces moments là, je décide que c'est l'heure pour Pushka de dormir !
(vous voyez, j'ai changé, mais pas tant que ça)
Et donc, je squatte un tabouret, pppfff ça tourne.
Je me dis qu'en m'allongeant sur les 2 tabourets ça ira mieux...
Et bien sûrement, car je me suis réveillée à : 8h30 du mat'.
Essuyant un filet de bave sur le coin de mon menton, essayant de redonner une forme a ma veste frippée, je vois la femme de ménage qui elle ne m'avait pas vu.
Je me lève, je titube.
Je tente de sortir de l'autre côté l'air de rien.
Je pousse la porte et je me retrouve enfermée dans un sas où les 2 portes sont bloquées.
La blague...
Et là, j'entends la porte qui s'ouvre et un mec me hurle presque dessus :
- "Mais qu'est-ce que vous foutez là ???"
- "Euh, euh, bah je sors de mon lit là, ça se voit pas Ducon ?!"
Je bafouille encore 2/3 mots et je sors plus ou moins dignement par la vraie sortie.
Le soleil brille, il est 08h45, j'ai les lentilles collées, une gueule de bois d'enfer, je n'ai pas vu l'individu qui m'avait fait me trainer jusque là (quoi que, si ça se trouve, il est arrivé 30minutes plus tard et à vu une tordue dormir sur 2 tabourets et il s'est dit que l'alcool faisait vraiment des ravages...) et d'un coup, je réalise que je suis vraiment plus faite pour ça.
Je sais que certaines personnes en lisant ça vont dire :
Elle a pas de limites, Paris/Tel-Aviv/Ajaccio ou Tombouctou : même combat.
C'est vrai, c'est vrai, je ne sais pas m'arrêter MAIS, j'ai (enfin) compris quelquechose.
Je suis résistante, certes, mais que je ne trouverai pas ce que je cherche en buvant le dernier whisky/gin/vodka/rhum de trop...
Pas de panique, arrêtez de pleurer, je vais continuer a sortir, a danser et a faire la java.
Faut pas déconner non plus hein.
Alors entre l'oursinade et ça, y'a pas de rapport mais je ne sais pas, ces 2 évènements, ont fait que je me sens drôlement bien, et en forme et je vois les choses sous un autre angle.
Je sais, c'est fou.
Je ne suis pas amoureuse, je ne suis pas bronzée, je n'ai pas mis les pieds chez H&M depuis 5 mois, je ne sais plus ce qu'est une vraie fête digne de ce nom et pourtant, je plane à 4000...
J'ai l'impression que ce poids qui me pesait encore quelques fois, a disparu.
Je ne me sens plus angoissée, du tout.
Nan par-ce que bon, les crises d'angoisse, alors que tout va bien a priori, c'est assez emmerdant.
Alors j'ai 2 explications (qui n'ont absolument rien a voir), soit :
- C'est cette oursinade, en plein soleil, face à la mer, un dimanche de janvier, une bouteille de rosé et j'ai compris que cette vie serait ma vie pour un certain temps et ça m'a fait du bien.
OU
- La semaine dernière, après une soirée bien arrosée, où j'aurai dû rentrer me coucher, je vais au SAS (restau/bar/club près de chez moi), car je pense voir là-bas quelqu'un en particulier.
Donc j'y vais, seule, bravant la loi de :
Une fille seule, pour boire et danser, c'est bizarre non ?!
Et j'ai continué a boire. Du whisky. Corse. Altore.
Et personne à l'horizon.
J'ai dansé un peu car je me sentais inspirée mais malheureusement j'étais la seule a me tremousser (comme souvent ici), et puis j'ai eu un coup de :
Rhooo, putain, fais chier, trop nul, y savent pas faire la fête, bande de nazes, gnagnagna et, je me suis sentie un peu vaseuse.
Au lieu de sortir par là où j'étais rentrée, et faire une 50aine de pas pour rentrer me coucher, je prends mes affaires, mon verre, j'avance dans la salle et au fond je vois un petit coin, où il n'y à personne.
Au loin, dans le flou, s'offre à moi : de grands tabourets.
Tout le monde sait à quel point j'affectionne, bancs, banquettes, chaises et autres meubles qui à la base, sont fait pour s'asseoir.
Je les aimes car je m'endors immanquablement dessus.
Surtout en soirée, quand y'a plein de monde, plein de bruits, de la musique à 150BPM, et bien souvent moi dans ces moments là, je décide que c'est l'heure pour Pushka de dormir !
(vous voyez, j'ai changé, mais pas tant que ça)
Et donc, je squatte un tabouret, pppfff ça tourne.
Je me dis qu'en m'allongeant sur les 2 tabourets ça ira mieux...
Et bien sûrement, car je me suis réveillée à : 8h30 du mat'.
Essuyant un filet de bave sur le coin de mon menton, essayant de redonner une forme a ma veste frippée, je vois la femme de ménage qui elle ne m'avait pas vu.
Je me lève, je titube.
Je tente de sortir de l'autre côté l'air de rien.
Je pousse la porte et je me retrouve enfermée dans un sas où les 2 portes sont bloquées.
La blague...
Et là, j'entends la porte qui s'ouvre et un mec me hurle presque dessus :
- "Mais qu'est-ce que vous foutez là ???"
- "Euh, euh, bah je sors de mon lit là, ça se voit pas Ducon ?!"
Je bafouille encore 2/3 mots et je sors plus ou moins dignement par la vraie sortie.
Le soleil brille, il est 08h45, j'ai les lentilles collées, une gueule de bois d'enfer, je n'ai pas vu l'individu qui m'avait fait me trainer jusque là (quoi que, si ça se trouve, il est arrivé 30minutes plus tard et à vu une tordue dormir sur 2 tabourets et il s'est dit que l'alcool faisait vraiment des ravages...) et d'un coup, je réalise que je suis vraiment plus faite pour ça.
Je sais que certaines personnes en lisant ça vont dire :
Elle a pas de limites, Paris/Tel-Aviv/Ajaccio ou Tombouctou : même combat.
C'est vrai, c'est vrai, je ne sais pas m'arrêter MAIS, j'ai (enfin) compris quelquechose.
Je suis résistante, certes, mais que je ne trouverai pas ce que je cherche en buvant le dernier whisky/gin/vodka/rhum de trop...
Pas de panique, arrêtez de pleurer, je vais continuer a sortir, a danser et a faire la java.
Faut pas déconner non plus hein.
Alors entre l'oursinade et ça, y'a pas de rapport mais je ne sais pas, ces 2 évènements, ont fait que je me sens drôlement bien, et en forme et je vois les choses sous un autre angle.
Je sais, c'est fou.