...Ne pas être.
C'est pas facile comme question hein pour un 24 décembre !
Non en fait, je cherche le moyen de vous parler de ma soirée d'hier.
Être ou ne pas être : une solution instable.
Alors, que je vous explique.
J'ai fais la connaissance d'un mâle, corse, d'environ 175cm, de race blanche, cheveux châtains, corpulence assez développée au niveau de la cage thoracique, approchant les 40ans.
Ce fût d'ailleurs mon tout premier contact de sexe masculin chez les autochtones de cette île.
Donc en gros, je le connais depuis 3mois, 2 semaines, 4 jours, 28 minutes et 36 secondes.
On a fricoté (je vous épargne les détails hein...non, non n'insistez pas, je ne dirai rien.), et au bout du compte, c'est clair comme de l'eau de roche, non seulement nous ne voulons pas la même chose, mais en plus nous sommes totalement incompatibles humainement, psychologiquement, culinairement, bref, on aurait dû, et ce, dès le premier rencard loupé, effacer nos n° respectifs (ce que moi j'ai fait of course ! J'adore positionner la petite barre sur un nom que je ne veux plus voir, et être prise de spasmes au moment du ok final qui supprimera à jamais ce con-tact, bbrrr) et faire comme si cet incident ne s'était jamais produit.
Mais le miracle de la technologie fait que maintenant, les gens vous trouvent, même si vous, vous ne les cherchez pas.
Ou là, en l'occurence, vous garde dans leur répertoire...
Alors il m'a rappelé, et je me suis dit : Bon, ok laisse sa chance au produit, tu es trop radicale parfois.
Cest un jeu du chat et de la souris genre : on se voit, on se voit plus, je veux, je veux plus, mots gentils rivalisent avec mots dures, je te donne pour reprendre tout de suite après, caprices, chantage affectif et pour finir, hier il me dit que je suis une solution instable.
C'est quoi une solution instable, dis-je perplexe ?
C'est comme la nitroglycérine (et là, je me dis, le mec a trop regardé 24h, c'est juste pas possible une réponse comme ça...), répond-il, très sérieusement en plus et sans aucune autre explication qui étayerait sa merveilleuse réponse.
Silence.
Puis d'un coup, flash, lumière divine, sonnez hauts-bois, raisonnez musettes : la révélation.
Il est CON.
Tout simplement.
Bête a bouffer du foin.
Je ne me prends pas pour Einstein soyons clairs, mais tout de même.
Et le truc dingue c'est que depuis tout ce temps, je joue plus ou moins son jeu.
(allez, je me fais plaisir hop, entre 2 phrases, l'air de rien, je le dis : c'est un mauvais coup en plus)
Tout en étant consciente et lucide sur la situation.
Alors, faute de grives, on mange des merles, disait Mémé...
Suis-je desespérée à ce point pour me fourvoyer avec un tel connard ??
Tout ça pour dire qu'aujourd'hui 24 décembre 2008, je suis heureuse de vous apprendre, que moi, Pushka, née le 20 novembre 1977 à la Clinique Sully de Maisons-Laffitte, et bien je suis une solution instable ce qui qui signifie que je suis de la NITROGLYCERINE.
Alors être ou ne pas être, hum, je ne sais plus trop !
Je ne voudrais pas m'exploser à la figure...
Nan vraiment, c'est décidé, en 2009, j'arrête les mecs.
C'est pas facile comme question hein pour un 24 décembre !
Non en fait, je cherche le moyen de vous parler de ma soirée d'hier.
Être ou ne pas être : une solution instable.
Alors, que je vous explique.
J'ai fais la connaissance d'un mâle, corse, d'environ 175cm, de race blanche, cheveux châtains, corpulence assez développée au niveau de la cage thoracique, approchant les 40ans.
Ce fût d'ailleurs mon tout premier contact de sexe masculin chez les autochtones de cette île.
Donc en gros, je le connais depuis 3mois, 2 semaines, 4 jours, 28 minutes et 36 secondes.
On a fricoté (je vous épargne les détails hein...non, non n'insistez pas, je ne dirai rien.), et au bout du compte, c'est clair comme de l'eau de roche, non seulement nous ne voulons pas la même chose, mais en plus nous sommes totalement incompatibles humainement, psychologiquement, culinairement, bref, on aurait dû, et ce, dès le premier rencard loupé, effacer nos n° respectifs (ce que moi j'ai fait of course ! J'adore positionner la petite barre sur un nom que je ne veux plus voir, et être prise de spasmes au moment du ok final qui supprimera à jamais ce con-tact, bbrrr) et faire comme si cet incident ne s'était jamais produit.
Mais le miracle de la technologie fait que maintenant, les gens vous trouvent, même si vous, vous ne les cherchez pas.
Ou là, en l'occurence, vous garde dans leur répertoire...
Alors il m'a rappelé, et je me suis dit : Bon, ok laisse sa chance au produit, tu es trop radicale parfois.
Cest un jeu du chat et de la souris genre : on se voit, on se voit plus, je veux, je veux plus, mots gentils rivalisent avec mots dures, je te donne pour reprendre tout de suite après, caprices, chantage affectif et pour finir, hier il me dit que je suis une solution instable.
C'est quoi une solution instable, dis-je perplexe ?
C'est comme la nitroglycérine (et là, je me dis, le mec a trop regardé 24h, c'est juste pas possible une réponse comme ça...), répond-il, très sérieusement en plus et sans aucune autre explication qui étayerait sa merveilleuse réponse.
Silence.
Puis d'un coup, flash, lumière divine, sonnez hauts-bois, raisonnez musettes : la révélation.
Il est CON.
Tout simplement.
Bête a bouffer du foin.
Je ne me prends pas pour Einstein soyons clairs, mais tout de même.
Et le truc dingue c'est que depuis tout ce temps, je joue plus ou moins son jeu.
(allez, je me fais plaisir hop, entre 2 phrases, l'air de rien, je le dis : c'est un mauvais coup en plus)
Tout en étant consciente et lucide sur la situation.
Alors, faute de grives, on mange des merles, disait Mémé...
Suis-je desespérée à ce point pour me fourvoyer avec un tel connard ??
Tout ça pour dire qu'aujourd'hui 24 décembre 2008, je suis heureuse de vous apprendre, que moi, Pushka, née le 20 novembre 1977 à la Clinique Sully de Maisons-Laffitte, et bien je suis une solution instable ce qui qui signifie que je suis de la NITROGLYCERINE.
Alors être ou ne pas être, hum, je ne sais plus trop !
Je ne voudrais pas m'exploser à la figure...
Nan vraiment, c'est décidé, en 2009, j'arrête les mecs.
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